POUR LA PETITE HISTOIRE ….
En 2016, à la suite une phrase prononcée lors d’un discours, l’idée de participer au Tournai Ramdam Festival émerge au sein de l’équipe de l’ASBL “ETIN-CELLES”.
En janvier 2018, à l’occasion du Tournai Ramdam Festival, elle lance un projet qui ressemblait plutôt à un défi. Rassembler des photographes amateurs avertis autour de professionnels avec l’objectif de monter une exposition sur le monde culturel sur base d’un fil rouge dans le cadre du Tournai Ramdam Festival et mettre en place un cycle de conférences.
Si certains émettaient des doutes face à l’ampleur du travail, toute l’équipe de l’ASBL “ETIN-CELLES”, les animateurs et les participants y ont cru, 5 ateliers photo Ramdam. 3 conférences. 2 expositions et 1 livre sont le résultat d’une année riche en événements.
« La culture, ça coûte cher et ça ne sert rien », par ce titre volontairement interpellant et provocateur,
Etin-Celles a bousculé, poussé à la réflexion et suscité les réactions par le biais de la photographie.
Cette idée s’est imposée à l’équipe de l’ASBL “ETIN-CELLES” tout naturellement à la suite d’une concertation avec ses partenaires locaux que sont la bibliothèque communale et l’échevinat de la culture.
La culture et son coût étaient au centre de toute la réflexion de ce projet mais aussi de l’ensemble de l’action d’Etin-Celles depuis sa création.
QUI SOMMES-NOUS ?
A la suite de cette expérience, un groupe de photographes professionnels et amateurs issu du projet “En 2018- 2019, Etin-Celles fait son Ramdam” dont le point d’orgue était l’exposition “La culture, ça ne sert à rien et ça coûte cher” en janvier 2019 lors du Tournai Ramdam Festival et en mai 2019 . a décidé de poursuivre l’aventure.
Il s’est constitué en collectif autonome et indépendant de l’ASBL.
QUE RECHERCHONS NOUS ?
La photo, nous amène à oser porter un arrêt sur une situation, à nous proposer un espace de partage, une rencontre avec l’intimité du sujet, du photographe et de nous-mêmes.
Elle est une manière d’interpréter l’instant, un arrêt sur un moment.
Elle nous oblige au recul, nous pousse à nous enrichir du temps de la réflexion.
Si la photo et la culture en général réussissent à nous faire prendre conscience des nouveaux possibles, à modifier notre vision du monde et à transformer nos actes au quotidien, c’est alors que nous nous positionnerons en « citoyens ramdamiens » grandis, différents, heureux et responsables !
Nous souhaitons donc, par le biais de la photographie, amener une réflexion, un débat sur un sujet.