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Info support
Allez les filles ! Avec moi ! YMCA !
Qu’est-ce que tu scrutes toi qui passes? Tu n’as jamais vu un couple d’amies jouer aux cartes et se faire offrir une bonne bière !
Silencieusement, résister.
Incarner la vie. Inlassablement.
Pieds blancs, noirs ou nus expriment la mort.
Mais la musique, toujours, exprime la Vie !
Monsieur, tournez la tête vers la mariée, s’il vous plait. Voilà. Merci. Vous avez de la chance, la pollution s’est levée aujourd’hui, on voit le paysage.
Encore plus de toi, mon Masque, encore plus de ton reflet, encore plus de grilles mon Masque, encore plus de toi dans mon air.
Ne t’approche pas, toute pleine de la force de l’arbre comme tu l’es, mon masque ne le supporterait pas.
Les nuages ont apporté le masque….et le masque papillon est devenu papillon masqué.
Vraiment, manger, la belle affaire !
Respirer, c’est bien plus sévère…
Cela fait un bail qu’on est là et que plus rien ne passe. On devrait bouger. J’arrive plus à compter les jours mais ils vont venir nous chercher. On bouge pas d’ici.
Je te touche, je te vois mais jamais je ne te sentirai toi, la rose qui es si rouge.
J’attends quoi ? La mort peut-être …
Et si j’étais la mort ? Le spectre de la vie ?
Oui, je suis le seul à pouvoir encore vous faire rougir !
Comment t’as su que c’était moi qui avais piqué le sac ?
J’étais masqué pourtant.
C’est décidé, mon petit, c’est la guerre ! Maintenant, on part.
Mais maman, … et mes copains ?
C’est loin là où on va ?
Et c’est quand qu’on revient ?
Chaque seconde peut marquer un nouveau départ. Choisis ta destination.
Mais avant tout, mets ton masque !
Le bonheur ancien s’en est allé. Mais, regarde !
Le jour se lève, frêles prémices d’une vie nouvelle masquée !
Non ! Jamais !
Ne vous laissez jamais tenter à gober un buvard de LSD sans ôter votre masque !
Toi et moi c’est pour la vie.
Donne-moi ton nectar, je suis ton papillon.
Tu fais quoi ?
J’essaie d’attraper les nuages.
Avec un masque ?
Les masques on y est habitué !
Attrapeur de rêves, va !
Encore une qui fait de l’excès de zèle !
Tu crois vraiment qu’on a choisi le bon coup ?
Ne te pose pas de question et fais juste comme moi !
Sans masque on ne se ressemble pas,
n’est-ce pas ?
Ne plus se protéger, rire de ses peurs, faire corps avec la fumée, sans masque…
Mais aime-moi bordel ! Je t’aime comme un fou,
tu le sais !
A demain mon chéri.
A demain ma belle.
A force d’avoir les poumons noirs de pollution, on meurt livide …
Je serai ton yin, tu seras mon yang.
Sous le ciel de plomb, j’en fais le serment.
Blanc et gris.
Alors pourquoi un masque noir ?
Il est trop pollué, déjà ?
Comment protéger ma tasse de thé de tout cet air à l’infini ?
Comment, mais COMMENT? Je suis si démunie !
M’ancrer à ton pied pour pouvoir encore m’élever et comprendre !
Faire un pas de côté du redoutable geyser qui nous habite et qui rend le masque indispensable.
Je te promets, je ne prêterai plus mon masque à Elise. C’est toi que j’aime.
Non Chérie, nous ne pourrons pas frôler nos lèvres avides ! Tu as d’autres idées ?
Une grue d’eau qui corsète la source à laquelle j’aspire.
Miroir, beau miroir, dis-moi qui est la plus belle !
Loup y es-tu, m’entends-tu, que fais-tu ?
Je démets mes chaussures, je démets mon manteau et je démets mon masque pour venir te manger !
Pour toi mon amour j’ai mis aujourd’hui mon masque, ma robe et mes ballerines aux couleurs de tes yeux. Dès que le feu sera rouge, viens vite boire tous mes bleus.
Sisyphe des temps modernes qui traîne en vain le blanc de l’espoir.
Tu crois que quelqu’un viendra ?
Oh que j’ai mal à la jambe !
Tiens le coup, on va être sauvés !
Inspirer. Surtout ne pas oublier.
Expirer.
C’est la vie.
Quel que soit l'endroit où conduit ton chemin, il y aura toujours une main tendue vers toi !
Danse, danse avec moi !
Tremble, tremble loin de moi.
C'est bien toi qui m'appelles ?
Je suis prêt.
J'attends ton signal .
L’histoire se répète, encore et encore.
Sur ces rails où, il y a 80 ans, mon grand-père partait vers l’enfer, je reviens et suffoque, dans le souvenir âpre des fumées crématoires.
Reste là, toi, si tu veux. Moi je choisis de mourir libre et hors ces murs. C'est ma dernière liberté. Vivre ainsi n'est pas vivre, c'est vivre à moitié et moi je ne peux vivre qu'intensément ou mourir !
A trois, on pousse! T’es sûr, je ne le sens pas.
On n’a pas le choix. L’incendie se rapproche, il faut passer.
Les masques sont interdits de l’autre côté.
J’ai peur ! De quoi ? De toi.
Je n’ai jamais vu ton visage.
Ne passez pas !!! On garde le passage.
Quel passage ?
Celui de l’ombre à la lumière et à l’air.
Vive le masque: la meilleure protection contre les ondes nocives !
Mon corps pour un tronc
Mes mains pour la lumière
Et ma tête à la nuit perdue.
Le petit heros des temps modermes se parait souvent de couleurs phosphorerscentes à la nuit tombante.
Garde mon masque, elle respire pour moi, poumon vert que je porte comme un présent.
Regarde les étoiles au loin, le ciel nous inonde.
Emmène-moi dans un monde qui me permettra de trouver un peu d’horizon.
Sans déconner le masque, c’est obligé ?
M’en parle pas, je viens de me prendre la tête avec ma mère.
Cet endroit qui t’apparaît comme la fin, pourrait bien être le début d’une nouvelle « air » !
Tout là-bas, un petit clocher.
Juste à côté, c'était ma maison.
Respirez l’air de la musique, seule elle,
RESISTE !